1.22.2007

5 ème au championnat du monde de référencement.

Le compétion a bien débuté pour mon globalwarming awareness2007, après une mise à jour lente de l'index sur Google, je me place 2 ème. Je suis en attente des répercutions sur MSN et Yahoo...

Une fiche individuelle des sites Internet dans le top 100 est disponible sur le site oraganisateur du championnat du monde de référencement:
http://www.seoworldchampionship.com/leaderboard/details.asp?url=www.globalwarming--awareness2007.net

1.19.2007

L'équipe Française des championnats du monde Globalwarming awareness2007

La French Task Force est l'équipe de France participante aux championnats du monde de référencement.



Mes autres partenaires:
globalwarming awareness2007

1.16.2007

Championnat du monde de référencement: globalwarming awareness2007

Le championnat du monde de référencement a commencé hier, le mot clé a officiellement été choisi à 19h 00 : globalwarming awareness2007

J’ai décidé de modestement concourir avec ma page globalwarming awareness2007 , je l’ai déjà cloturé et je vais pouvoir commencer ma phase de référencement.


Je vous prie de m'excuser pour les post moins fréquents, qui sont la conséquence d’une activité professionnelle intensive.



L'export du PageRank se termine.

Les mises à jour de l'affichage du PageRank dans la barre d'outils de google ont un nouveau terme : exports de PageRank. Elle avait commencé le 9 janvier.


A noter Google met à jour quotidiennement le PageRank mais ne met à jour les données visibles dans la toolbar dans un intervalle allant de 1 à 4 mois.
Depuis quelques jours on peut donc voir le PageRank changer mais la mise à jour ne s’est pas faite sur la totalité des pages de l'index, en effet Google a transféré le pagerank sur les nouvelles pages ne disposant d'aucune mise à jour préalable, et certains sites, je pense aléatoirement (conclusion actuelle). Au passage, il met également à jour les commandes link:, related: et info:.

1.08.2007

Les enjeux de l'internet sur téléphone mobile.

L'internet sur téléphone mobile aujourd'hui, balbutiant, a de sérieuses perspectives d'évolutions. J'analyse pour vous la prise de position de la téléphonie mobile sur Internet et ses enjeux.






L'internet mobile connaît actuellement une forte dynamique. Fournisseurs de contenu, les opérateurs, et les marques préparent leur stratégie de mobilité.

Un indicateur: la télévision sur téléphone mobile.


Dans une étude venant de paraître, le cabinet OC&C Strategy Consultants affirme que tous les feux sont au vert pour le développement du marché de la télévision sur mobile. A tel point que pour ses auteurs "tout concourt à rendre imminent et inéluctable l'avènement de la TV mobile en France".

Le projet de loi sur l'audiovisuel qui devrait être votée en janvier pourrait signer le début de l'envolée d'un marché qu'il estime atteindre 500 millions d'euros - hors publicité - pour 6 millions d'abonnés en 2013.
L'arrivée des premières chaînes broadcast et le lancement de premiers services de télévision hauts débit durant la Coupe du monde de rugby ayant lieu en France pourraient fortement populariser le service.

La coupe du monde de la FIFA aura également eu le mérite de nous donner le potentiel de ce service. En effet, durant la période du 9 juin au 19 juillet, SFR aurait totalisé 1,8 millions de téléchargements de vidéos sur mobile.

L'internet mobile: les enjeux



Dernièrement, Orange serait en discussion avec Google pour créer un téléphone mobile adapté aux services du célèbre moteur de recherche. Un accord qui permettrait à Orange de développer ses revenus issus de la publicité.
France Télécom s'est aussi associé à Microsoft pour intégrer Windows Live Messenger dans tous les mobiles de l'opérateur, d'abord en France, puis en Europe, en partageant les revenus publicitaires avec la firme de Redmond.
En France, le marché des abonnés à l'internet mobile est de 3,2 millions de personnes pour 27 millions de foyers équipés d'un accès internet.
Les Européens sont plus friands d'internet mobile que les américains. Une étude ComScore (octobre 2006) montre que 28% des internautes français se connectent (également ou exclusivement) à internet via leur téléphone mobile.

Les visites Internet depuis un mobile consultent plus de pages mais plus rapidement, 3 minutes pour un internaute mobile contre 5 minutes pour l'internaute "classique".
D'après Xiti, par rapport à ces différences de comportements, certaines hypothèses peuvent être faites comme notamment des pages de sites mobiles ayant un peu moins de contenu que les sites web donc qui seraient lues plus vite, des tarifs de connexion plus élevés qui n’inciteraient pas l'internaute à flâner...





Mais une vague de développement importante est en marche, porté par les opérateurs de téléphonie, l'arrivée de la publicité pour faire en sorte de "vulgariser" les usages multimédias.

Eric Schmidt, Pdg de Google a récemment expliqué à des étudiants de Stanford que selon lui les communications GSM seront à terme gratuites car financées par la publicité.
Une gratuité néanmoins corrélée à un usage intensif des mobiles de l'ordre de 7 heures par jour pour un usage multimédia. Vodafone étudie justement cette voie aux Royaume-Uni. L'opérateur à l'intention de proposer à ses abonnés des publicités mobiles administrées par Yahoo en contrepartie d'une réduction des coûts de communication en mode data. Des encarts publicitaires seraient ainsi affichés sur le portail mobile de Vodafone et sur certains services. Un test est actuellement en cours.


Vers le m-commerce.


Le e-commerce représente que 4 % des sites consultés lors d'une connection mobile. Des marques comme Nespresso et téléshopping ont déjà leurs pages, mais le canal de vente complémentaire par le mobile tarde à démarrer.
En revanche, il peut rapidement devenir un support de paiement.
Le terminal est bien adapté aux micropaiements, et peut faire office de porte-monnaie électronique. Une fonctionnalité qu'expérimente Bouygues télécom et la Ratp, en faisant du mobile un substitut du titre de transport.

Le M-commerce a des avantages publicitaires. Le coût au contact d'une campagne mobile est peu supérieur à celui d'une campagne internet, mais le taux de clics est plus élevé, de 1,5 à 5 % avec des contacts plus qualifiés et plus efficaces. De plus, les sociétés constatent qu'une campagne SMS est plus efficace qu'une campagne emailing.

C'est incontestablement le créneau en développement au Japon, le M-commerce a généré, en 2006, plus de 500 milliards de yens (3,37 milliards d'euros) de chiffre d'affaires.

Choisir son nom de domaine

Le premier contact entre le visiteur et le site est le nom de domaine.

Le choix du nom de domaine est la conjuguaison d'une reflexion marketing, et d'un objectif technique.

Je vous présente un tour d'horizon des bonnes méthodes pour choisir un nom de domaine.
Choisir un nom de domaine, l'identité d'un site internet


Le choix de son patronyme sur la toile nécessite une véritable réflexion en amont. Le commencement de votre projet internet, le nom de domaine est le prolongement de votre communication, ainsi que votre identité.
Il sera difficile de le changer plus tard, car cela signifie perdre les investissements consentis en référencement naturel ou payant, les contacts par e-mail et l'image de marque de votre site.

Diriger son choix

Il faut éviter les effets de mode, favoriser un nom de domaine court et sans "S" à la fin. Plus le nom de domaine est simple, plus il sera facile à écrire et à retenir par les internautes.
Parallèlement, il est important de déposer des noms de domaine en simulant les fautes d'orthographe possibles, et rediriger les internautes vers la bonne url.
Il est intéressant de déposer une adresse avec des tirets afin d'accroître son référencement naturel sur les moteurs de recherche. Par exemple le nom top-logiciel aura un meilleur référencement que l'adresse toplogiciel, c'est à dire qu'il aura un meilleur classement dans les pages de recherches de google, yahoo, msn et les autres moteurs de recherche.


Choisir son extension

Une fois son nom choisi, reste à définir le type d'extension. Il faut distinguer les génériques pour l'international (".com", ".net", ".org") et les locales pour une implantation géographique (".fr" France, ".de" Allemagne, ".es" Espagne, et dernièrement le ".eu" pour l'Europe). A noter que l'extensions ".com" est fortement utilisé, a tel point que tous les noms de domaines en 3 lettres ont d'ores et déjà été déposés, et les noms en 4 lettres sont en voie de l'être.
Selon une étude réalisée par TNS Sofres, 86% des internautes français souhaitent qu'un site commercial soit accessible en ".fr". Pour un site français, il est donc préférable de déposer une extension générique, et une extension en .fr avec une redirection sur le nom de domaine ayant l'extension générique. ( Ex: www.top-logiciel.fr )

Déposer le nom de domaine chez un prestataire


Un "registrar" fait office d'interface entre le dépositaire (vous) et l'organisme qui gère spécifiquement une extension ( l'Afnic pour le .fr, l'EURid pour le ".eu, ou l'Icann pour le ".com"). Les prix entre les registrars varient ainsi que le coût selon les extensions. Les registrars vous proposent aussi une gamme de services complémentaires (hebergement, juridique, conseil, serveurs sécurisés, etc.).
Par conséquent, il est important de vérifier les accréditations, c'est à dire qu'il enregistre votre nom de domaine auprès des organismes adéquats. Par ailleurs, il faut aussi que votre prestataire ait de bon DNS ( Système de Nom de Domaine ), concrètement qu'il dispose de serveurs d'hébergement fiables et dans plusieurs pays.


Enfin, une fois vos noms de domaine déposés, effectuez un travail de veille afin de déposer rapidement les nouvelles extensions intéressantes ( comme le nouveau .mobi spécialisé pour l'internet mobile). A noter que l'acquisition du nom de domaine est basée sur la règle du « premier arrivé, premier servi », pris en retard, il existe une jurisprudence étoffée sur le sujet, des actions juridiques complexes devront être mises en oeuvres.

1.03.2007

Mieux connaître Googlebot

L'index de google contient 8 milliards de pages internet. La sauvegarde de ses pages est réalisée par un robot automatisé: Le GoogleBot.


En fait, Google emploie réellement un certain nombre d'araignées pour crawler les pages .
Cet article essayera d'indiquer les robots les plus importants de Google. Nous commencerons par le GoogleBot.

GoogleBot

Googlebot, comme vous savez probablement, est le BOT de recherche employé par Google pour récupérer les nouvelles pages d'un site internet. Googlebot a deux dérivés, deepbot et freshbot.

-Deepbot essaye de suivre chaque lien et télécharger autant de pages qu' il peut pour l'index de Google. Il examine la structure interne d'un site internet, donnant un profil de votre site pour l'index.

-Freshbot, est un nouveau BOT recherchant le contenu frais.
Le freshbot de Google a été mis en place afin d'alléger la charge de travail de Deepbot et s'occupe des pages déjà présentes dans l'index afin de mettre à jours le contenu.

Ceci signifie que plus vous mettrez à jour votre site avec un contenu de qualité, plus
Googlebot viendra vous vérifier.

Par contre si vous souhaitez que deepbot vienne vous indexer, vous devez obtenir des liens de qualité.


Le prochain BOT de Google est connu sous le nom de MediaBot.


MediaBot est le robot de Google permettant d'éditer les Adsense. Mediabot est employé pour déterminer les annonces à diffuser sur votre site en fonction de votre thématique.

Si Mediabot n'a pas visiter une nouvelle page d'un site, l'ADS choisi sera basé sur le thème globaldu site internet.

Si aucun ADS ne peut être choisi, les annonces d'intérêt publique ( non-payantes) seront diffusées à la place.

En utilisant le réseau adsense votre site à plus de chance d'être mis à jours.
Ainsi que ceux qui utilisent Google Analytics peuvent s'attendre à une activité additionnelle d'indexation.

ImageBot.

Imagebot scrutent les sites à la recherche d'image, faisant un classement basé sur leur nom de fichier, texte environnant, texte d'alt, et titre de page.


Notre BOT final est complètement consacré au programme de Google Adwords.

AdsBot est utilisée pour analyser la contenu d'une page, et determiner la qualité de votre annonce publicitaire.

Selon votre budget, le CPC et Adsbot, Google positionnera votre page dans les Adwords. Plus la note donnée par Adsbot est haute, plus votre site a des chances d'être bien classé.
Google veut fournir les meilleurs résultats à ses utilisateurs.